Description

I.  Agents pathogènes en aquaculture

A.  La surveillance de la qualité microbiologique des coquillages

B. Les agents pathogène en pisciculture

II.  Identification moléculaire

Quantification de Vibrio par la méthode de qPCR Taqman

III.  Maîtrise du risque, diagnostics, traitements des pathologies

A. Notions de bactériologie, d’antibiothérapie et d’immunologie

B. Physicochimie et qualité de l’eau

C. Maladie, interprétation limitée aux causes et conséquences

D. Un élevage est un équilibre

E. Maladie et milieu de vie

F. Déclenchement d’une maladie = rupture de l’équilibre

G. Maîtrise des bio-agresseurs

H. Conduite en cas d’échec de la prophylaxie

I. Recueil documentaire des données

J. Résultats de gestion sanitaire (exemples)

IV.  Pathologie des mollusques marins en élevage

A. Impact des maladies sur les mollusques

B. Particularités zootechniques

C. Les risques d'introduction et/ou d'émergence de maladies

D. Réglementation

E. Stratégies de surveillance

F. Les outils diagnostiques

V.  Démarche qualité (HACCP)

A. Missions de la direction départementale de la protection des populations

B. La méthode HACCP. Application à une pisciculture

E. Abattage et commercialisation des produits piscicoles

F. Quelques dangers spécifiques (parasites, contaminants chimiques).

VI. Interactions aquaculture environnement

Finalité

• Avoir conscience de l’importance de l’hygiène en aquaculture


• Savoir maîtriser la qualité des produits d’aquaculture


• Savoir évaluer les risques de contamination


• Savoir détecter différentes pathologies et savoir les éradiquer

Compétences visées

• Savoir maîtriser les risques en aquaculture animale et savoir détecter l’origine d’un problème 


• Connaitre les pathogènes spécifiques de chaque espèce élevée


• Savoir détecter, identifier et quantifier un pathogène


• Savoir quelles décisions prendre en cas d’infection d’un élevage

Description des modalités d'évaluation

Examens théorique, TP notés

Public

Accessible aux étudiants ayant validé 120 ECTS dans une formation scientifique supérieure et ayant de bonnes connaissances en microbiologie, microalgues toxiques, zootechnie d’aquaculture et bases de génie génétique.